Altaï 2025 – souvenirs inoubliables d’un voyage en Sibérie
L’aventure de cet été avec notre groupe francophone s’est achevée, et elle restera longtemps dans nos mémoires.
Nous avons parcouru la majestueuse route de la Tchouïa jusqu’aux frontières de la Mongolie, découvert d’anciens pétroglyphes, échangé avec des chamanes, goûté à la cuisine locale et rencontré des personnes incroyables… Un aperçu de certains souvenirs vous attend sur cette page.
Pour ne pas manquer les prochains voyages en Sibérie, dès cet hiver et à l’été 2026, abonnez-vous à la newsletter.
Nous avons parcouru la majestueuse route de la Tchouïa jusqu’aux frontières de la Mongolie, découvert d’anciens pétroglyphes, échangé avec des chamanes, goûté à la cuisine locale et rencontré des personnes incroyables… Un aperçu de certains souvenirs vous attend sur cette page.
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Après ce voyage incroyable que nous avons vécu ensemble cette année dans l’Altaï russe, au cœur de la Sibérie, il m’est difficile de mettre en mots toutes les émotions et tous les souvenirs que je garde en moi.
Ces moments resteront longtemps dans nos cœurs — ils se transformeront, nous nourriront comme une source d’énergie silencieuse.
C’est cela, l’effet Altaï.
Mais quelques souvenirs visuels, entre les eaux laiteuses de la Katoun et les sommets des montagnes, j’ai essayé de les rassembler dans cette courte vidéo. Regardez.
Ces moments resteront longtemps dans nos cœurs — ils se transformeront, nous nourriront comme une source d’énergie silencieuse.
C’est cela, l’effet Altaï.
Mais quelques souvenirs visuels, entre les eaux laiteuses de la Katoun et les sommets des montagnes, j’ai essayé de les rassembler dans cette courte vidéo. Regardez.
Russie, Sibérie, Altaï : voyage au berceau des civilisations
© Alarusse.co
Route de la Tchouïa : un voyage entre steppes, montagnes et légendes
Nous avons parcouru la route de la Tchouïa, l’une des plus belles routes du monde — classée dans le top 10 de National Geographic pour sa beauté spectaculaire. Sur plus de 900 kilomètres, elle nous a menés des forêts profondes de la Sibérie jusqu’aux confins semi-désertiques aux portes de la Mongolie.
Cette ancienne voie commerciale faisait partie de la route de la soie, reliant la Russie à la Chine. Aujourd’hui, elle est un trait d’union entre les paysages époustouflants de l’Altaï et les traditions nomades.
Chaque tournant révélait une nouvelle surprise : des montagnes enneigées, des pétroglyphes millénaires, des rivières turquoises ou encore des villages reculés où le temps semble suspendu.
Nous avons parcouru la route de la Tchouïa, l’une des plus belles routes du monde — classée dans le top 10 de National Geographic pour sa beauté spectaculaire. Sur plus de 900 kilomètres, elle nous a menés des forêts profondes de la Sibérie jusqu’aux confins semi-désertiques aux portes de la Mongolie.
Cette ancienne voie commerciale faisait partie de la route de la soie, reliant la Russie à la Chine. Aujourd’hui, elle est un trait d’union entre les paysages époustouflants de l’Altaï et les traditions nomades.
Chaque tournant révélait une nouvelle surprise : des montagnes enneigées, des pétroglyphes millénaires, des rivières turquoises ou encore des villages reculés où le temps semble suspendu.
La route au cœur de la Sibérie — Top-10 de plus belles routes du monde
© Alarusse.co
[ Un décor immense, sauvage, traversé par une rivière majestueuse et encadré de falaises vertigineuses... ]
Le pays des mille lacs – souvenirs d’une journée hors du commun
Nous avons traversé la région d’Oulagan, connue comme « le pays des mille lacs ». Ces étendues d’eau limpides, nichées entre les montagnes, semblaient refléter un autre monde — paisible et intemporel.
Le col d’Oulagan, perché à plus de 2000 mètres, nous a offert des panoramas spectaculaires et une atmosphère presque mystique. Plus loin, les tumulus de Pazyryk nous ont plongés dans l’histoire ancienne de l’Altaï, entre archéologie et légendes.
Mais c’est en arrivant dans la vallée de la Tchoullychman que le souffle s’est coupé. Un décor immense, sauvage, traversé par une rivière majestueuse.
Et puis, il y a eu Katu-Yaryk — cette route en lacets taillée dans la roche. Un moment de vertige et d’émerveillement. Ce jour-là, l’Altaï nous a montré toute sa grandeur.
Nous avons traversé la région d’Oulagan, connue comme « le pays des mille lacs ». Ces étendues d’eau limpides, nichées entre les montagnes, semblaient refléter un autre monde — paisible et intemporel.
Le col d’Oulagan, perché à plus de 2000 mètres, nous a offert des panoramas spectaculaires et une atmosphère presque mystique. Plus loin, les tumulus de Pazyryk nous ont plongés dans l’histoire ancienne de l’Altaï, entre archéologie et légendes.
Mais c’est en arrivant dans la vallée de la Tchoullychman que le souffle s’est coupé. Un décor immense, sauvage, traversé par une rivière majestueuse.
Et puis, il y a eu Katu-Yaryk — cette route en lacets taillée dans la roche. Un moment de vertige et d’émerveillement. Ce jour-là, l’Altaï nous a montré toute sa grandeur.
[ La steppe de Kouraï, immense et silencieuse, ouvrait l’espace et l’imaginaire. ]
Montagnes, steppes et paysages d’une autre planète – l’Altaï dans toute sa diversité
Dans le sud de l’Altaï, les paysages changent à chaque virage. On passe des steppes arides aux sommets enneigés, des rivières turquoise aux collines rouges du « Mars de l’Altaï ».
Ce contraste permanent donne l’impression de traverser plusieurs mondes en un seul voyage.
Le lac aux geysers nous a fascinés par ses formes mouvantes, comme vivantes. Plus loin, les chaînes de montagnes du Nord-Tchouïa se dressaient, majestueuses, couronnées de glaciers.
La steppe de Kouraï, immense et silencieuse, ouvrait l’espace et l’imaginaire. Et puis il y a eu ces moments suspendus : une source sacrée au bord de la route, un troupeau de chameaux à l’horizon, un ciel si vaste qu’on s’y perdait.
Dans ces décors presque irréels, on sentait que l’Altaï ne se regarde pas seulement — il se vit, profondément.
Dans le sud de l’Altaï, les paysages changent à chaque virage. On passe des steppes arides aux sommets enneigés, des rivières turquoise aux collines rouges du « Mars de l’Altaï ».
Ce contraste permanent donne l’impression de traverser plusieurs mondes en un seul voyage.
Le lac aux geysers nous a fascinés par ses formes mouvantes, comme vivantes. Plus loin, les chaînes de montagnes du Nord-Tchouïa se dressaient, majestueuses, couronnées de glaciers.
La steppe de Kouraï, immense et silencieuse, ouvrait l’espace et l’imaginaire. Et puis il y a eu ces moments suspendus : une source sacrée au bord de la route, un troupeau de chameaux à l’horizon, un ciel si vaste qu’on s’y perdait.
Dans ces décors presque irréels, on sentait que l’Altaï ne se regarde pas seulement — il se vit, profondément.
L’aventure continue – en automne, en hiver… et en 2026
Notre voyage de cet été 2025 touche à sa fin, mais les souvenirs qu’il laisse sont inoubliables.
Et si vous découvriez l’Altaï autrement ? À l’automne, ses paysages se parent de couleurs flamboyantes et l’ambiance devient magique.
En hiver, c’est une autre facette de la Sibérie qui s’ouvre à vous : l’air vif, les lacs gelés, les balades en traîneau à chiens, les soirées au coin du feu, les bains russes et la cuisine locale réconfortante. Le climat dans l’Altaï reste plus doux que dans le reste de la Sibérie — mais l’expérience reste profondément sibérienne.
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Pour toute question ou suggestion, n'hésitez pas à contacter la fondatrice du projet, Anna, via les réseaux sociaux ou par e-mail.
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